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DE LA VENDÉE

HISTOIRE DE LA VENDÉE


Suite à la loi du 22 décembre 1789 (division de la France en départements), le département de la Vendée est créé en 1790.

Pour l’anecdote : « les Deux Lays », en référence aux rivières du petit Lay et du grand Lay, avait d’abord été retenu par le rapporteur pour nommer le département. Seulement, deux députés de l’Ouest trouvèrent ce calembour si injurieux, pour eux d’abord (connus pour leur physique disgracieux) et pour les habitants du département ensuite, que ce fut finalement le nom de « Vendée » – petit cours d’eau – qui fut choisi.

 

A partir de 1792, la République française est dirigée par l’Assemblée (élue au suffrage universel masculin), appelée la Convention Nationale. Cette nouvelle administration est mal acceptée par les paysans vendéens, d’autant plus lorsqu’elle prive le Clergé de ses droits. Si le mécontentement gronde, l’insurrection éclate en mars 1793 lorsque la convention décrète la levée en masse : conscription de 300 000 hommes célibataires entre 18 et 40 ans, hormis la bourgeoisie et les fonctionnaires, réquisitionnés dans l’armée pour défendre la France.

 

Les paysans s’arment puis s’organisent autour de chefs – Delbée, La Rochejaquelein*, Stofflet, Bonchamps, Charrette – pour former l’armée catholique et royale, les « Blancs », contre les « Bleus », les Républicains. Commence alors la Guerre de Vendée, une guerre civile enchaînant les destructions et les massacres pendant 3 ans, jusqu’à l’exécution de Charrette et Stofflet en 1796.

La Vendée sort appauvrie de cette guerre qui dénombre entre 200 000 et 300 000 morts.

*Le champ de bataille des Mathes, situé à côté du camping Villa Campista, fut le théâtre de la dernière bataille de Louis de la Rochejaquelein, alors tombé au combat. Des visites commentées sont organisées en juillet et août pour vous permettre de connaître et de revivre l’histoire de la bataille des Mathes.

 

Le général Napoléon Bonaparte, nouveau Consul de France depuis le coup d’État du 18 brumaire (1799) et bientôt empereur de France (1804), tente de rétablir l’ordre et la confiance. Il exempte les paysans de service militaire, et transfère le chef-lieu du département à La Roche-sur-Yon, véritable ville nouvelle à vocation militaire et défensive. Il réorganise l’économie, créé de nouvelle routes, et développe l’enseignement secondaire dans le département.

Dès 1832, l’ouverture de routes stratégiques et l’arrivée du chemin de fer (liaison ferroviaire Nantes/La Roche-sur-Yon) sonnent l’essor industriel de la Vendée, ainsi que son développement touristiques grâce à l’instauration des congés payés.

 

Lors de la Première Guerre mondiale, en 1917, le Vendéen Georges Clemenceau est nommé président du Conseil. Partisan d’une victoire totale de la France sur l’Empire allemand, il poursuit la guerre et se voit attribuer le surnom de « Père la Victoire » à l’issue du conflit, lorsqu’il signe le traité de Versailles.

 

Le 22 juin 1940, les troupes allemandes envahissent la Vendée. C’est à nouveau un Vendéen, le général Jean de Lattre de Tassigny, qui apporte une grande contribution à la libération de la France et de l’Europe en commandant la 1re armée française jusqu’à la capitulation allemande qu’il reçoit au nom de la France à Berlin le 8 mai 1945.

 

A la seconde moitié du XXe siècle, le développement du département est tel qu’il est qualifié de « miracle économique vendéen », basé sur l’industrialisation du bocage. En parallèle, en 1978, Philippe de Villiers crée le spectacle nocturne La Cinéscénie du Puy du Fou, qui deviendra Le Grand Parc du Puy du Fou en 1989. La même année, la première course au large en solitaire du Vendée Globe est lancée, et consacre ainsi l’industrie nautique vendéenne.

 

Pour en savoir plus, l’histoire riche et passionnante de la Vendée est retracée à l’Historial de la Vendée.

 

UNE SITUATION GÉOGRAPHIQUE PRIVILÉGIÉE

La Vendée, située dans la région des Pays de la Loire, profite d’une situation géographique exceptionnelle sur la Côte Atlantique, entre marais, forêts, bocages, sable fin et falaises escarpées :

  • Au nord, le marais breton est recouvert de prairies humides, de canaux et de polders sur 45 000 hectares, témoignant encore d’une histoire saline forte.
  • Au centre, la Vendée Vallée ou bocage vendéen constitue avec ses champs, ses collines et ses rivières le cœur historique de la Vendée et abrite les principaux sites culturels historiques.
  • Au sud, le Parc Naturel Régional du Marais Poitevin offre une mosaïque de paysages entre marais desséché et Venise verte.
  • Sur sa façade littorale, le département compte plus de 140 km de plages fin sur 250 km de côtes protégées, surnommée « Côte de Lumière » grâce à un fort ensoleillement.

 

La prédominance de la nature et la douceur de son climat en font une destination de choix pour les vacanciers. L’art de vivre vendéen, la gastronomie, la richesse culturelle, la variété des activités nautiques et le développement des infrastructures et parcs touristiques  contribuent aussi largement à l’attractivité du territoire.

DES ACTIVITÉS VARIÉES
POUR PETITS ET GRANDS

De nombreux sentiers de randonnées pédestres et plus de 1 150 kilomètres de pistes cyclables traversent l’ensemble du département pour vous faire découvrir une nature préservée, des panoramas exceptionnels et des sites touristiques incontournables.

 

A pied, à cheval ou en vélo, longez ainsi le sentier du littoral pour découvrir la Côte du Lumière, où les paysages se métamorphosent au gré des marais et des vents. A marée basse, lorsque l’océan se retire et loin et dévoile d’innombrables trous d’eau dans les rochers, les pêcheurs à pied s’en donneront à cœur joie. A marée haute, vous pourrez profiter des bains de mer, mais également des nombreuses activités nautiques et maritimes proposées : surf, paddle, kitesurf, voile, char à voile, catamaran, balade en mer, pêche au large, découverte des îles vendéennes

 

Pour varier les plaisirs, la Vendée regorge de complexes de loisirs (accrobranche, paintball, laser game, bowling, quad, canoé kayak, vélo-rail…) et de parcs d’attractions (parcs de jeux pour enfants, parcs aquatiques, parcs à thèmes à l’image du célèbre Puy du Fou…).

 

Tant d’activités à découvrir… Rendez-vous à l’accueil du camping Villa Campista, à l’Office de Tourisme de Saint-Hilaire-de-Riez, ou dans l’un des 50 bureaux d’information touristique du département : http://www.vendee-tourisme.com/infos-pratiques-vendee/offices-de-tourisme/.

TOUS LES CHEMINS MÈNENT EN VENDÉE
ET SURTOUT À SAINT-HILAIRE-DE-RIEZ

En voiture :

  • Depuis Paris, Le Mans, Angers ou Nantes : prendre l’autoroute A11, sortir à Noirmoutier-en-île. Comptez environ 4h30 de trajet depuis Paris
  • Depuis Niort ou Poitiers : prendre l’autoroute A83, direction la Roche-Sur-Yon
  • Depuis Lyon : prendre l’autoroute A89 pour 683 km soit 7h de trajet
  • Depuis Bordeaux : suivre l’A10 et récupérer l’A83 direction La Roche-sur-Yon

 

En taxi : depuis l’aéroport et la gare SNCF de Nantes, vous pourrez prendre un taxi jusqu’à Saint-Hilaire-de-Riez. Comptez 1h de trajet pour 100 à 120 € la course.

 

En bus : la ligne régionale 11, desservie par Eurolines, Flixbus et Ouibus, relie Nantes à Saint-Hilaire-de-Riez en 1h.

 

En train : plusieurs gares TGV desservent la Vendée : La Roche-sur-Yon, Les Sables d’Olonne, Nantes, Niort, La Rochelle, ainsi que de nombreuses gares en correspondance. Pour rejoindre Saint-Hilaire-De-Riez, il vous faudra prendre un TER depuis Nantes (4 TER par jour, trajet d’1h30, à partir de 15€). La garde de Saint-Hilaire-de-Riez est située en centre-ville.

Informations sur https://www.oui.sncf/

 

En avion, l’aéroport Nantes Atlantique accueille les vols nationaux et internationaux. Depuis l’aéroport, vous pourrez emprunter un taxi ou prendre la navette jusqu’à la gare de Nantes où vous pourrez alors trouver les TER et les bus qui vous mèneront à Saint-Hilaire-de-Riez.

Informations sur https://www.nantes.aeroport.fr/fr

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